提交 82aa571d 编写于 作者: E elefevre

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git-svn-id: https://hudson.dev.java.net/svn/hudson/trunk/hudson/main@7185 71c3de6d-444a-0410-be80-ed276b4c234a
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<div>
Valeurs à assigner aux variables. Les valeurs multiples sont
séparées par des espaces ou des retours à la ligne.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Spécifie le(s) JDK avec lesquels les builds seront exécutés. Si aucun
n'est donné, le JDK par défaut est utilisé (pas de variable <tt>JAVA_HOME</tt>
explicite; on considère que la commande <tt>java</tt> est dans le <tt>PATH</tt>). Si de multiples JDK sont précisés, la matrice de configuration
incluera tous ces JDK.
<br>
Avoir de multiples valeurs est typiquement utile quand le job réalise des
tests et que vous devez les lancer sur plusieurs versions différentes
du JDK.
<br>
Au cours d'un build, le JDK sélectionné est visible dans l'axe 'jdk'.
Référez-vous à l'aide sur les 'axes' ci-dessous pour plus d'information
sur l'accès à la valeur d'un axe.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Spécifiez ici les machines (les noeuds) sur lesquelles les builds sont
exécutés.
<ul>
<li>
Si aucune n'est sélectionnée, Hudson une des machines disponibles
pour l'exécution du build (ce comportement est le même pour les
projets free-style quand l'option "attacher ce projet au noeud"
n'est pas sélectionnée). C'est utile quand le projet n'a oas de
dépendance avec une machine particulière; Hudson peut en effet
utiliser les noeuds de façon optimale.
<li>
Si une machine est sélectionnée, Hudson lancera toujours le build
dessus (si vous en sélectionnez une parmi les "noeuds spécifiques")
ou sur une des machines qui appartiennent à un libellé (si vous
en choisissez une dans "libellé").
C'est pratique quand le build doit tourner sur un ordinateur
particulier, ou sur un sous-ensemble d'ordinateurs. Par exemple,
si votre build nécessite MacOS X.
<li>
Si de multiples valeurs sont sélectionnées, la matrice de configuration
sera étendue de façon à les inclure toutes, et les bulds seront
exécutés sur tous les noeuds ou libellés.
Cela est utile, par exemple, quand vous souhaitez lancer des tests
sur Windows, Linux et Solaris.
</ul>
<br>
Au cours d'un build, le nom du noeud ou du libellé sélectionné pour un
lancement donné est visible sous l'axe "libellé".
Référez-vous à l'aide sur les "axes" ci-dessous pour plus d'information
sur l'accès à la valeur de l'axe.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
<p>
Si cette option est sélectionnée, Hudson lancera les builds de chaque
module comme des builds séparés.
Sur un projet avec un grand nombre de modules, ou sur un projet où les
modules prennent du temps pour builder, cette option permet d'accélérer
le build dans sa globalité, puisque les sous-modules peuvent être construits
en parallèle.
<p>
Si cette option n'est *pas* cochée, Hudson construira le projet comme
lors d'un lancement classique en ligne de commande.
<p>
Si votre build utilise des mojos "aggregator" qui tirent parti des multi-modules, laissez cette option déchochée, afin que les mojos
aient accès à tous vos modules.
<p>
Historiquement, c'était l'option par défaut pour les projets 'natifs' maven
jusqu'à Hudson 1.333. Si votre projet a été créé avant cette version,
laissez plutôt cette option décochée.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Indique quelles options passer à la JVM quand Maven se lance dans un
process externe. Voir aussi la
<a href="http://maven.apache.org/maven-1.x/reference/command-line.html">documentation MAVEN_OPTS</a>
(bien qu'elle soit écrite pour Maven 1.x, elle reste valable pour Maven 2.x)
<p>
Les expensions de variables à la Shell sont valables dans ce champ,
avec une syntaxe du type <tt>${VARIABLE}</tt>.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Par défaut (ou si ce champ est laissé tel quel, ou vide), tous les
modules se contruisent avec les mêgoals ou phases spécifiés dans la
<a href="../configure">configuration du parent</a>, mais vous pouvez
la remplacer sur les modules en indiquant une valeur différente ici.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Si votre <tt>pom.xml</tt> du plus haut niveau se trouve dans un répertoire
différent du répertoire racine du workspace, spécifiez ici
le chemin (de façon relative à la racine du répertoire de travail),
par exemple <tt>parent/pom.xml</tt>.
<br>
Si ce champ est défaut, la valeur par défaut est <tt>pom.xml</tt>
</div>
\ No newline at end of file
<div>
L'URL racine du projet pour le navigateur de l'outil de gestion de configuration du code.
Par exemple, pour un projet java.net appelé <tt>monprojet</tt>:
<tt>https://monprojet.dev.java.net/source/browse/monprojet</tt>.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Indiquez ici l'URL racine de FishEye pour ce repository
(comme <a href="http://deadlock.netbeans.org/fisheye/browse/netbeans/">ceci</a>.)
</div>
<div>
Specify the root Subversion module that this FishEye monitors.
For example, for <tt>http://fisheye6.cenqua.com/browse/ant/</tt>,
this field would be <tt>ant</tt> car il affiche le rpertoire "/ant"
du repository ASF. Si FishEye est configur de faon afficher le
rpertoire SVN en entier, laissez ce champ vide.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Spcifiez ici l'URL de ce module dans FishEye.
(par exemple <tt>http://fisheye6.cenqua.com/browse/ant/</tt>)
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Indiquez ici le nom de l'instance de repository Sventon qui fait
rfrence ce repository Subversion.
Par exemple, si vous naviguez habituellement partir de
<tt>http://somehost.com/svn/repobrowser.svn?name=local</tt>,
ce champ devrait contenir <tt>local</tt>
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Indiquez ici l'URL du navigateur de repository Sventon.
Par exemple, si vous naviguez habituellement sur
<tt>http://somehost.com/svn/repobrowser.svn?name=local</tt>,
ce champ devrait contenir <tt>http://somehost.com/svn/</tt>
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Spcifiez ici l'URL racine de ViewCVS pour ce repository (par exemple,
<a href="http://relaxngcc.cvs.sourceforge.net/relaxngcc/">comme ceci</a>).
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Indiez ici l'URL racine de ViewSVN pour ce repository
(par exemple, <a href="http://svn.apache.org/viewvc">comme ceci</a>).
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Utilise le conteneur de servlet pour authentifier les utilisateurs,
comme défini dans les spécifications des servlets.
C'est historiquement ce que Hudson a fait jusqu'à la version 1.163.
Cela reste utile principalement dans les situations suivantes:
<ol>
<li>
Vous avez utilisé Hudson avant la version 1.164 et vous désirez
garder le même comportement.
</li>
<li>
Vous avez déjà configuré votre conteneur avec le bon royaume (realm)
de sécurité et vous souhaitez le faire utiliser par Hudson.
(parfois le conteneur fournit une meilleure documentation ou des
implémentations custom pour ce connecter à un royaume utilisateur
spécifique)
</li>
</ol>
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Dans ce mode, un utilisateur connecté obtient le contrôle complet de
Hudson. Le seul utilisateur qui n'a pas le contrôle complet est
l'utilisateur anonymous, qui n'a que l'accès en lecture seule.
<p>
Ce mode est utile pour forcer les utilisateurs à se logger avant de faire
des actions particulières, afin de conserver une trace de qui a fait quoi.
Ce mode peut également être utilisé dans le cas d'une installation publique
de Hudson, où vous ne pouvez avoir confiance que dans les utilisateurs
qui possèdent des comptes.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Cette option vous permet de configurer qui fait quoi dans un grand tableau.
<p>
Chaque colonne représente une autorisation. Faite glisser la souris au
dessus du nom d'une autorisation pour obtenir plus d'information sur
ce qu'elle représente.
<p>
Chaque ligne représente un utilisateur ou un groupe (souvent appelé
'rôle', selon les royaumes (realms) de sécurité).
On y trouve un utilisateur spécial 'anonymous', qui représente
les utilisateurs non authentifiés.
Utilisez le texte sous la table pour ajouter des nouveaux
utilsateurs/groupes/rôles à la table et cliquez sur l'icône
<tt>[x]</tt> pour les supprimer.
<p>
Les autorisations s'ajoutent les unes aux autres. En clair, si un
utilisateur X est dans les groupes A, B et C, alors les autorisations
associées à cet utilisateur sont l'union de toutes les autorisations
accordées à X, A, B, C et anonymous.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Pour authentifier les utilisateurs et déterminer leurs rôles,
Hudson exécute de multiples requêtes LDAP.
Comme une base LDAP peut se voir comme une structure arborescente
et que la recherche se fait de façon récursive, en théorie, si nous
pouvons commencer une recherche à partir d'un sous-noeud (plutôt
qu'à partir de la racine), les performances seront meilleures, puisque
le périmètre de la recherche est plus petit.
Ce champ spécifie le DN de ce sous-arbre.
<p>
En pratique, les serveurs LDAP conservent un index très complet sur les
données, donc peupler ce champ est rarement nécessaire &mdash;
vous devriez laisser Hudson déterminer cela lors des communications
avec LDAP.
<p>
Si vous spécifiez cette valeur, le champ sera du type
<tt>"dc=sun,dc=com"</tt>.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Ce champ contient le host name du serveur LDAP
(du type <tt>ldap.sun.com</tt>).
Si votre serveur LDAP utiliser un numéro de port différent de
389 (port standard LDAP), vous pouvez ajouter un numéro de port ici,
dans dans <tt>ldap.acme.org:1389</tt>
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Une des recherches faites par Hudson sur LDAP consiste à obtenir les
informations utilisateur à partir de son nom.
Si vous fournissez ic un DN relatif (au DN racine), Hudson limitera
le périmètre de la recherche au sous-arbre correspondant.
<p>
Mais en pratique, les serveurs LDAP conservent un index très complet
sur les données, donc ce champ est rarement nécessaire.
<p>
Si vous fournissez bien cette valeur, elle devrait être du type
<tt>"ou=people"</tt>.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Une des recherches faites par Hudson sur LDAP consiste à obtenir les
informations utilisateur à partir de son nom.
<p>
Ce champ indique quelle requête lancer pour identifier les informations
utilisateur. Cette requête est presque toujours <tt>"uid={0}"</tt>
comme défini dans la
<a href="http://www.ietf.org/rfc/rfc2798.txt">RFC 2798</a>, donc
dans la majorité des cas, vous devriez laisser ce champ vide
et laisser Hudson utiliser la requête par défaut.
<p>
Dans le cas où une requête différente est nécessaire, fournissez ici
une requête LDAP avec un marqueur "{0}",
qui sera remplacé par le nom fourni par l'utilisateur.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Ceci permet un comportement exactement similaire à celui de Hudson
&lt;1.164. C'est-à-dire que, si vous avez le rôle "admin", vous aurez
le comtrôle complet sur le système. Si vous n'avez pas ce rôle (ce qui
inclue les utilisateurs anonymes), vous n'aurez que l'accès en lecture seule.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Aucune restriction des autorisations n'est faite. Tous les utilisateurs
ont le contrôle coùmplet de Hudson, y compris les utilisateurs anonymes qui
ne se sont pas authentifiés.
<p>
Cela est utile dans les situations où vous lancez Hudson dans un
environnement de confiance (comme un intranet d'entreprise) et où vous
souhaitez utiliser l'authentification uniquement pour la personnalisation.
De cette façon, si quelqu'un a besoin de faire un changement rapide
sur Hudson, cette personne ne sera pas forcée à s'authentifier.
</div>
\ No newline at end of file
<div>
Utilise la <a href="people">liste des utilisateurs gérée par Hudson</a>
pour les authentifier, plutôt que de déléguer à un système externe.
Cette solution est pratique pour les configurations simples où vous
n'avez pas de d'utilisateurs dans une base de données ailleurs.
</div>
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